Le printemps s’avère fatal
Pour tant de décades
Arcades lumineuses ou non
Elles sont sans nom
Dans la froidure dans la verdure
Les arabesques sinueuses gravées des lettres d’or
Là où tout dort
Là où la mort
Dessinent dans la terreur
La noirceur
L’impénétrable vérité des erreurs
D’une vie sans bonheur
Inachevée …
en plein été