Printemps lumière des feuilles d’argent
A la virgule excusable
N’exprime que des regrets excusables
D’être fauché au printemps
Le pourpre des économies
Entre trois robes aux corolles garnies
S’en va chemin fainéant
Vers d’autres cieux plus cléments
Si la facilité sans tâche
Tempête, se bat sans relâche
La lumière aux ailerons d’acier
Vers l’opprobre se tourne sans pitié
A travers le regard d’azur
Des feuillages aux sombres destinées
Se dessine en chiffres certifiés
Le travail imberbe des années
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